Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Procédure d’expropriation

L’expropriation est une procédure qui permet à une personne publique de contraindre un particulier ou une personne morale à céder son bien immobilier, moyennant le paiement d’une indemnité. Pour pouvoir recourir à l’expropriation, la personne publique doit respecter une procédure qui se déroule en 2 temps : une phase administrative et une phase judiciaire.

    L’expropriation est le plus souvent réalisée pour le compte d’une personne publique (État, collectivités territoriales…).

    L’expropriation contribue notamment à la réalisation d’ouvrages publics (équipements sociaux, réseaux d’assainissement…) et d’aménagements urbains.

    L’expropriation doit suivre une procédure qui se déroule en 2 temps :

    • Une 1re phase administrative préparatoire au cours de laquelle la personne publique doit démontrer l’utilité publique de son projet

    • Une 2e phase judiciaire servant à garantir le transfert de propriété à la personne publique et le paiement d’une indemnité à la personne expropriée

    À savoir

    entre la décision de lancer une procédure d’expropriation et la réalisation du transfert de propriété, il peut se passer un temps très variable (de moins d’1 an à plusieurs années).

    Les biens pouvant être expropriés sont ceux qui appartiennent à des personnes privées (particuliers) ou morales (sociétés, par exemple).

    Ils concernent les propriétés (maisons, terrains…), et les droits d’usage qui les accompagnent (usufruit, servitude …).

    L’expropriation peut porter sur la totalité du bien ou sur une partie de celui-ci.

    L’expropriation ne peut intervenir que si elle présente une utilité publique.

    Les juges considèrent que cette condition est remplie dès lors que les 3 conditions suivantes sont réunies :

    • Le projet est réellement justifié

    • Le projet ne peut pas être évité (le recours à l’expropriation n’est en effet possible qu’après la mise en place de toutes les autres solutions, comme l’acquisition amiable, le droit de préemption)

    • L’atteinte à la propriété de la personne expropriée n’est pas disproportionnée par rapport à l’objectif poursuivi

    L’expropriation est généralement considérée comme étant d’utilité publique lorsqu’elle concerne les opérations suivantes :

    • Création de lotissements communaux

    • Création d’espaces verts

    • Création d’établissements d’enseignement ou hospitaliers

    • Amélioration de la voirie

    La phase administrative se déroule en 2 temps :

    • Une phase d’enquête publique destinée à informer le public

    • Puis, une phase d’enquête parcellaire permettant d’identifier le propriétaire concerné et lui permettre de savoir avec exactitude dans quelle mesure son bien sera concerné par l’expropriation

    Ces enquêtes durent au minimum 15 jours calendaires chacune.

    Ouverture de l’enquête publique

    L’enquête publique est fondée sur un dossier transmis par la personne publique au préfet. Ce dossier comprend des éléments pour informer le public. Il s’agit des éléments suivants :

    • Notice explicative du projet

    • Plan de situation du projet

    • Périmètre délimitant les biens à exproprier et estimation sommaire des acquisitions à réaliser

    Une fois la transmission de ce dossier, le préfet prend un arrêté qui ouvre l’enquête publique.

    L’enquête est conduite par un commissaire-enquêteur désigné par le président du tribunal administratif.

    L’ouverture de l’enquête est mentionnée dans les journaux locaux diffusés dans le département et fait l’objet d’un affichage en mairie où le projet doit avoir lieu.

    Elle indique les heures et le lieu où le public peut prendre connaissance du dossier et formuler des observations sur un registre ouvert à cet effet.

    Où s’adresser ?

     Mairie 

    Prononcé de l’acte déclarant l’utilité publique (DUP)

    Au vu des résultats de l’enquête du commissaire-enquêteur, si l’utilité publique du projet est identifiée, le préfet prononce une déclaration d’utilité publique (DUP).

    Cet acte doit être affiché dans la mairie concernée par le projet. Le jour de l’affichage sert de point de départ aux intéressés pour contester la DUP et engager un recours devant le tribunal administratif (TA).

    Ouverture de l’enquête parcellaire

    L’enquête parcellaire est fondée sur un dossier transmis par la personne publique au préfet. Ce dossier comprend notamment un plan précis des parcelles à exproprier.

    Une fois la transmission de ce dossier, le préfet prend un arrêté qui ouvre l’enquête parcellaire.

    L’enquête est conduite par un commissaire-enquêteur désigné par le préfet.

    La personne publique doit informer personnellement le propriétaire du bien de l’ouverture de cette enquête par lettre recommandée avec accusé de réception.

    Prise d’un arrêté de cessibilité

    Au vu des résultats de l’enquête du commissaire-enquêteur, le préfet peut déclarer cessible les parcelles en prenant un arrêté de cessibilité.

    L’arrêté est publié au recueil départemental des actes administratifs et notifié au propriétaire du bien par lettre recommandée avec accusé de réception.

    Ce recueil est notamment consultable en mairie ou sur son site internet.

    Où s’adresser ?

     Mairie 

    Transfert de propriété

    Une fois que le projet d’expropriation a été déclaré d’utilité publique et que l’arrêté de cessibilité a été notifié au propriétaire du bien, le transfert de propriété peut avoir lieu.

    Ce transfert de propriété peut se faire par accord amiable entre la personne publique et la personne expropriée. En l’absence d’accord, la personne publique peut saisir le juge de l’expropriation qui prononce une ordonnance d’expropriation.

    Cette ordonnance est notifiée à l’exproprié par lettre recommandée avec avis de réception.

    L’ordonnance d’expropriation a pour effet de transférer juridiquement la propriété du bien et les droits réels immobiliers (usufruit, servitude…) de l’exproprié à la personne publique.

    À ce stade, l’exproprié ne peut donc plus vendre, ni faire de donation, ni constituer d’hypothèque sur le bien.

    Le bail signé par un locataire occupant prend également fin.

    En revanche, tant qu’il n’a pas été indemnisé par la personne publique, l’exproprié conserve la jouissance du bien. Ainsi, par exemple, si le bien était loué, le locataire doit verser non pas un loyer, mais une indemnité d’occupation à l’exproprié jusqu’à son départ.

    Offre d’indemnisation

    La personne publique doit proposer une offre d’indemnisation à l’exproprié. Cette offre doit être faite par lettre recommandée avec accusé de réception ou par acte du commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire).

    À partir de la réception de ce courrier, l’exproprié a 1 mois pour faire connaître à la personne publique, par lettre recommandée avec avis de réception son acceptation ou le montant détaillé de sa demande.

    Dès l’arrêté de cessibilité, l’exproprié peut également mettre en demeure l’expropriant de lui adresser une offre d’indemnisation. Sans réponse dans le délai d’un mois, il peut saisir le juge de l’expropriation.

    En l’absence d’accord amiable, le juge de l’expropriation doit être saisi par l’une ou l’autre des parties pour qu’il fixe une indemnité.

    À noter

    la personne publique doit également proposer une indemnisation au locataire occupant et lui proposer une solution de relogement, au moins 6 mois avant son départ.

    Nature de l’indemnisation

    L’indemnité doit couvrir l’intégralité du préjudice direct, matériel et certain causé par l’expropriation.

    Cette indemnité comprend une indemnité principale qui correspond à la valeur du bien exproprié à la date de la décision de 1re instance.

    L’indemnité principale permet à l’ancien propriétaire d’acquérir un bien équivalent à celui qu’il possédait.

    Les éléments matériels du bien sont en revanche arrêtés à la date de l’ordonnance d’expropriation, ce qui exclut la prise en compte d’améliorations de toutes sortes depuis l’ordonnance. Il s’agit par exemple de l’installation d’une clôture, d’un garage, de plantations.

    D’autres indemnités accessoires peuvent être versées, par exemple en cas d’expropriation partielle du bien si la partie restante n’est pas utilisable dans des conditions normales pour son propriétaire.

    La personne publique a 1 mois après le paiement des indemnités dues à l’exproprié pour prendre possession du bien. Passé ce délai, l’expulsion des occupants peut avoir lieu.

Expropriation

    Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
    Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

    De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

    L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
    La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

    Procédure d’expropriation

    L’expropriation est une procédure qui permet à une personne publique de contraindre un particulier ou une personne morale à céder son bien immobilier, moyennant le paiement d’une indemnité. Pour pouvoir recourir à l’expropriation, la personne publique doit respecter une procédure qui se déroule en 2 temps : une phase administrative et une phase judiciaire.

      L’expropriation est le plus souvent réalisée pour le compte d’une personne publique (État, collectivités territoriales…).

      L’expropriation contribue notamment à la réalisation d’ouvrages publics (équipements sociaux, réseaux d’assainissement…) et d’aménagements urbains.

      L’expropriation doit suivre une procédure qui se déroule en 2 temps :

      • Une 1re phase administrative préparatoire au cours de laquelle la personne publique doit démontrer l’utilité publique de son projet

      • Une 2e phase judiciaire servant à garantir le transfert de propriété à la personne publique et le paiement d’une indemnité à la personne expropriée

      À savoir

      entre la décision de lancer une procédure d’expropriation et la réalisation du transfert de propriété, il peut se passer un temps très variable (de moins d’1 an à plusieurs années).

      Les biens pouvant être expropriés sont ceux qui appartiennent à des personnes privées (particuliers) ou morales (sociétés, par exemple).

      Ils concernent les propriétés (maisons, terrains…), et les droits d’usage qui les accompagnent (usufruit, servitude …).

      L’expropriation peut porter sur la totalité du bien ou sur une partie de celui-ci.

      L’expropriation ne peut intervenir que si elle présente une utilité publique.

      Les juges considèrent que cette condition est remplie dès lors que les 3 conditions suivantes sont réunies :

      • Le projet est réellement justifié

      • Le projet ne peut pas être évité (le recours à l’expropriation n’est en effet possible qu’après la mise en place de toutes les autres solutions, comme l’acquisition amiable, le droit de préemption)

      • L’atteinte à la propriété de la personne expropriée n’est pas disproportionnée par rapport à l’objectif poursuivi

      L’expropriation est généralement considérée comme étant d’utilité publique lorsqu’elle concerne les opérations suivantes :

      • Création de lotissements communaux

      • Création d’espaces verts

      • Création d’établissements d’enseignement ou hospitaliers

      • Amélioration de la voirie

      La phase administrative se déroule en 2 temps :

      • Une phase d’enquête publique destinée à informer le public

      • Puis, une phase d’enquête parcellaire permettant d’identifier le propriétaire concerné et lui permettre de savoir avec exactitude dans quelle mesure son bien sera concerné par l’expropriation

      Ces enquêtes durent au minimum 15 jours calendaires chacune.

      Ouverture de l’enquête publique

      L’enquête publique est fondée sur un dossier transmis par la personne publique au préfet. Ce dossier comprend des éléments pour informer le public. Il s’agit des éléments suivants :

      • Notice explicative du projet

      • Plan de situation du projet

      • Périmètre délimitant les biens à exproprier et estimation sommaire des acquisitions à réaliser

      Une fois la transmission de ce dossier, le préfet prend un arrêté qui ouvre l’enquête publique.

      L’enquête est conduite par un commissaire-enquêteur désigné par le président du tribunal administratif.

      L’ouverture de l’enquête est mentionnée dans les journaux locaux diffusés dans le département et fait l’objet d’un affichage en mairie où le projet doit avoir lieu.

      Elle indique les heures et le lieu où le public peut prendre connaissance du dossier et formuler des observations sur un registre ouvert à cet effet.

      Où s’adresser ?

       Mairie 

      Prononcé de l’acte déclarant l’utilité publique (DUP)

      Au vu des résultats de l’enquête du commissaire-enquêteur, si l’utilité publique du projet est identifiée, le préfet prononce une déclaration d’utilité publique (DUP).

      Cet acte doit être affiché dans la mairie concernée par le projet. Le jour de l’affichage sert de point de départ aux intéressés pour contester la DUP et engager un recours devant le tribunal administratif (TA).

      Ouverture de l’enquête parcellaire

      L’enquête parcellaire est fondée sur un dossier transmis par la personne publique au préfet. Ce dossier comprend notamment un plan précis des parcelles à exproprier.

      Une fois la transmission de ce dossier, le préfet prend un arrêté qui ouvre l’enquête parcellaire.

      L’enquête est conduite par un commissaire-enquêteur désigné par le préfet.

      La personne publique doit informer personnellement le propriétaire du bien de l’ouverture de cette enquête par lettre recommandée avec accusé de réception.

      Prise d’un arrêté de cessibilité

      Au vu des résultats de l’enquête du commissaire-enquêteur, le préfet peut déclarer cessible les parcelles en prenant un arrêté de cessibilité.

      L’arrêté est publié au recueil départemental des actes administratifs et notifié au propriétaire du bien par lettre recommandée avec accusé de réception.

      Ce recueil est notamment consultable en mairie ou sur son site internet.

      Où s’adresser ?

       Mairie 

      Transfert de propriété

      Une fois que le projet d’expropriation a été déclaré d’utilité publique et que l’arrêté de cessibilité a été notifié au propriétaire du bien, le transfert de propriété peut avoir lieu.

      Ce transfert de propriété peut se faire par accord amiable entre la personne publique et la personne expropriée. En l’absence d’accord, la personne publique peut saisir le juge de l’expropriation qui prononce une ordonnance d’expropriation.

      Cette ordonnance est notifiée à l’exproprié par lettre recommandée avec avis de réception.

      L’ordonnance d’expropriation a pour effet de transférer juridiquement la propriété du bien et les droits réels immobiliers (usufruit, servitude…) de l’exproprié à la personne publique.

      À ce stade, l’exproprié ne peut donc plus vendre, ni faire de donation, ni constituer d’hypothèque sur le bien.

      Le bail signé par un locataire occupant prend également fin.

      En revanche, tant qu’il n’a pas été indemnisé par la personne publique, l’exproprié conserve la jouissance du bien. Ainsi, par exemple, si le bien était loué, le locataire doit verser non pas un loyer, mais une indemnité d’occupation à l’exproprié jusqu’à son départ.

      Offre d’indemnisation

      La personne publique doit proposer une offre d’indemnisation à l’exproprié. Cette offre doit être faite par lettre recommandée avec accusé de réception ou par acte du commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire).

      À partir de la réception de ce courrier, l’exproprié a 1 mois pour faire connaître à la personne publique, par lettre recommandée avec avis de réception son acceptation ou le montant détaillé de sa demande.

      Dès l’arrêté de cessibilité, l’exproprié peut également mettre en demeure l’expropriant de lui adresser une offre d’indemnisation. Sans réponse dans le délai d’un mois, il peut saisir le juge de l’expropriation.

      En l’absence d’accord amiable, le juge de l’expropriation doit être saisi par l’une ou l’autre des parties pour qu’il fixe une indemnité.

      À noter

      la personne publique doit également proposer une indemnisation au locataire occupant et lui proposer une solution de relogement, au moins 6 mois avant son départ.

      Nature de l’indemnisation

      L’indemnité doit couvrir l’intégralité du préjudice direct, matériel et certain causé par l’expropriation.

      Cette indemnité comprend une indemnité principale qui correspond à la valeur du bien exproprié à la date de la décision de 1re instance.

      L’indemnité principale permet à l’ancien propriétaire d’acquérir un bien équivalent à celui qu’il possédait.

      Les éléments matériels du bien sont en revanche arrêtés à la date de l’ordonnance d’expropriation, ce qui exclut la prise en compte d’améliorations de toutes sortes depuis l’ordonnance. Il s’agit par exemple de l’installation d’une clôture, d’un garage, de plantations.

      D’autres indemnités accessoires peuvent être versées, par exemple en cas d’expropriation partielle du bien si la partie restante n’est pas utilisable dans des conditions normales pour son propriétaire.

      La personne publique a 1 mois après le paiement des indemnités dues à l’exproprié pour prendre possession du bien. Passé ce délai, l’expulsion des occupants peut avoir lieu.

    Expropriation

      Vous êtes propriétaire ou locataire ?
      Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

      De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

      L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

      Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
      Les contrevenants s’exposent à une contravention.

      Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

      En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

      Contact