Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

La contestation est possible dans les cas suivants :

  • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

  • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

La contestation est impossible dans les cas suivants :

  • Filiation adoptive

  • Filiation à la suite d’une  AMP 

Naissance et filiation

    La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

    Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

    Attention

    Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

    Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

    • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

    • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

    Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

    Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

    • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

    • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

    Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

      Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

      • Père désigné dans l’acte de naissance

      • Mère désignée dans l’acte de naissance

      • Personne qui se prétend être le véritable parent

      • Enfant lui-même à compter de sa majorité

      Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

      • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

      • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

        Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

        Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

        • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

        • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

          Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

          Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

            Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

            Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

              La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

              Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                Tous les moyens de preuve sont possibles.

                Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                • Annulation rétroactive du lien de filiation

                • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                À savoir

                Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                Par exemple, un héritier du père.

                La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                Tous les moyens de preuve sont possibles.

                Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                Où s’adresser ?

                 Avocat 

                Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                • Annulation rétroactive du lien de filiation

                • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                À savoir

                dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

              Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
              Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

              De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

              L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
              La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

              Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

              Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

              La contestation est possible dans les cas suivants :

              • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

              • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

              La contestation est impossible dans les cas suivants :

              • Filiation adoptive

              • Filiation à la suite d’une  AMP 

              Naissance et filiation

                La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                Attention

                Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

                Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

                • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

                • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

                Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

                  Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

                  • Père désigné dans l’acte de naissance

                  • Mère désignée dans l’acte de naissance

                  • Personne qui se prétend être le véritable parent

                  • Enfant lui-même à compter de sa majorité

                  Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

                  • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                  • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                    Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

                    Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                    • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                    • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                      Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                      Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

                        Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

                        Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

                          La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

                          Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                            La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                            Tous les moyens de preuve sont possibles.

                            Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                            Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                            L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                            Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                            • Annulation rétroactive du lien de filiation

                            • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                            • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                            L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                            Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                            À savoir

                            Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                            La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                            Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                            Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                            La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                            Par exemple, un héritier du père.

                            La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                            La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                            Tous les moyens de preuve sont possibles.

                            Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                            Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                            L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                            Où s’adresser ?

                             Avocat 

                            Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                            • Annulation rétroactive du lien de filiation

                            • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                            • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                            L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                            Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                            À savoir

                            dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                          Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                          Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                          De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                          L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                          Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                          Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                          Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                          En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

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