Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Repos quotidien du salarié

Quelle est la durée légale de repos quotidien d’un salarié entre 2 journées de travail ? Des dérogations à cette durée peuvent-elles être prévues ? La durée du repos est-elle la même si le salarié est majeur ou mineur ?

Nous vous présentons les informations à connaître.

Temps de travail dans le secteur privé

    Tout salarié (en CDI , en  CDD , en contrat d’intérim, travaillant à temps plein ou à temps partiel) bénéficie d’un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

    Le salarié bénéficie d’un repos quotidien d’au moins 11 heures consécutives entre 2 journées de travail.

    Attention

    aucune durée légale minimale n’est imposée aux cadres dirigeants.

    Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

    C’est le cas si le salarié exerce l’une des activités suivantes :

    • Activités caractérisées par l’éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié

    • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes

    • Activités nécessitant d’assurer la continuité du service ou de la production

    • Manutention ou exploitation concourant à l’exécution de prestations de transport

    • Activités s’exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

    La durée minimale de repos est alors fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

    Toutefois, la durée de repos quotidien ne peut pas être inférieure à 9 heures consécutives.

    À noter

    La non-application de la durée maximale quotidienne de travail, fixée à 10 heures, est possible. Toutefois, l’employeur doit alors accorder au salarié une période de repos au moins équivalente au temps de travail effectué au-delà de la durée légale quotidienne.

      En cas de surcroît d’activité, une convention collective ou un peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

      Toutefois, la durée de repos quotidien ne peut pas être inférieure à 9 heures consécutives.

      En l’absence de convention collective ou d’accord d’entreprise, l’employeur doit obtenir l’autorisation de l’inspecteur du travail s’il souhaite ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien.

      À noter

      La non-application de la durée maximale quotidienne de travail, fixée à 10 heures, est possible. Toutefois, l’employeur doit alors accorder au salarié une période de repos au moins équivalente au temps de travail effectué au-delà de la durée légale quotidienne.

        L’employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

        • Mesures de sauvetage

        • Prévention d’accidents imminents

        • Réparation d’accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

        L’employeur doit en informer l’inspecteur du travail.

        Toutefois, la durée de repos quotidien ne peut pas être inférieure à 9 heures consécutives.

        À noter

        La non-application de la durée maximale quotidienne de travail, fixée à 10 heures, est possible. Toutefois, l’employeur doit alors accorder au salarié une période de repos au moins équivalente au temps de travail effectué au-delà de la durée légale quotidienne.

        Le salarié bénéficie d’un repos quotidien d’au moins 12 heures consécutives entre 2 journées de travail.

        À noter

        il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans entre 22h et 6h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d’activité ou dans des situations d’urgence.

          Le salarié bénéficie d’un repos quotidien d’au moins 14 heures consécutives entre 2 journées de travail.

          À noter

          il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans entre 20h et 6h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d’activité ou dans des situations d’urgence.

              Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
              Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

              De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

              L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
              La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

              Repos quotidien du salarié

              Quelle est la durée légale de repos quotidien d’un salarié entre 2 journées de travail ? Des dérogations à cette durée peuvent-elles être prévues ? La durée du repos est-elle la même si le salarié est majeur ou mineur ?

              Nous vous présentons les informations à connaître.

              Temps de travail dans le secteur privé

                Tout salarié (en CDI , en  CDD , en contrat d’intérim, travaillant à temps plein ou à temps partiel) bénéficie d’un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

                Le salarié bénéficie d’un repos quotidien d’au moins 11 heures consécutives entre 2 journées de travail.

                Attention

                aucune durée légale minimale n’est imposée aux cadres dirigeants.

                Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

                C’est le cas si le salarié exerce l’une des activités suivantes :

                • Activités caractérisées par l’éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié

                • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes

                • Activités nécessitant d’assurer la continuité du service ou de la production

                • Manutention ou exploitation concourant à l’exécution de prestations de transport

                • Activités s’exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

                La durée minimale de repos est alors fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                Toutefois, la durée de repos quotidien ne peut pas être inférieure à 9 heures consécutives.

                À noter

                La non-application de la durée maximale quotidienne de travail, fixée à 10 heures, est possible. Toutefois, l’employeur doit alors accorder au salarié une période de repos au moins équivalente au temps de travail effectué au-delà de la durée légale quotidienne.

                  En cas de surcroît d’activité, une convention collective ou un peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

                  Toutefois, la durée de repos quotidien ne peut pas être inférieure à 9 heures consécutives.

                  En l’absence de convention collective ou d’accord d’entreprise, l’employeur doit obtenir l’autorisation de l’inspecteur du travail s’il souhaite ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien.

                  À noter

                  La non-application de la durée maximale quotidienne de travail, fixée à 10 heures, est possible. Toutefois, l’employeur doit alors accorder au salarié une période de repos au moins équivalente au temps de travail effectué au-delà de la durée légale quotidienne.

                    L’employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

                    • Mesures de sauvetage

                    • Prévention d’accidents imminents

                    • Réparation d’accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

                    L’employeur doit en informer l’inspecteur du travail.

                    Toutefois, la durée de repos quotidien ne peut pas être inférieure à 9 heures consécutives.

                    À noter

                    La non-application de la durée maximale quotidienne de travail, fixée à 10 heures, est possible. Toutefois, l’employeur doit alors accorder au salarié une période de repos au moins équivalente au temps de travail effectué au-delà de la durée légale quotidienne.

                    Le salarié bénéficie d’un repos quotidien d’au moins 12 heures consécutives entre 2 journées de travail.

                    À noter

                    il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans entre 22h et 6h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d’activité ou dans des situations d’urgence.

                      Le salarié bénéficie d’un repos quotidien d’au moins 14 heures consécutives entre 2 journées de travail.

                      À noter

                      il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans entre 20h et 6h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d’activité ou dans des situations d’urgence.

                          Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                          Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                          De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                          L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                          Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                          Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                          Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                          En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

                          Contact