Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Licenciement économique : priorité de réembauche

La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

    Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

    La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

    La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

    À noter

    En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

    Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

    L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

    En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

    Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

    Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

    Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

    L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

    Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

    Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

    Attention

    L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

    Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

    À noter

    Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

    Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

    L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

    L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

    En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

    L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

    Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

    En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

    L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

    L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

    Le salarié a un délai de 2 ans pour .

    Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

      L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

      L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

      Le salarié a un délai de 2 ans pour .

      Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

        L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

        Le salarié a un délai de 2 ans pour .

        Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

          Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
          Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

          De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

          L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
          La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

          Licenciement économique : priorité de réembauche

          La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

            Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

            La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

            La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

            À noter

            En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

            Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

            L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

            En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

            Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

            Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

            Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

            Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

            Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

            L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

            Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

            Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

            Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

            Attention

            L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

            Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

            Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

            À noter

            Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

            Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

            L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

            L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

            En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

            L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

            Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

            En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

            L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

            L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

            Le salarié a un délai de 2 ans pour .

            Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

              L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

              L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

              Le salarié a un délai de 2 ans pour .

              Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

                Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                  Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                  Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                  De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                  L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                  Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                  Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                  Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                  En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

                  Contact