Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Saisie d’un véhicule à moteur

Une personne vous doit de l’argent ? Dans ce cas, vous êtes le créancier et la personne qui vous doit de l’argent est le débiteur. En tant que créancier, vous pouvez forcer le débiteur à payer sa dette, en chargeant un commissaire de justice de saisir son véhicule (voiture, moto, scooter, quad…). Si vous êtes le débiteur, vous n’êtes averti de la saisie qu’au moment où elle a lieu. Vous pouvez par la suite contester cette saisie, mais dans certains cas seulement. Nous vous expliquons.

    Tout véhicule terrestre à moteur immatriculé (voiture, moto, scooter, quad, remorque…) peut être saisi.

    Mais si le véhicule est nécessaire au débiteur pour exercer personnellement son activité professionnelle, la saisie n’est pas possible. C’est le cas, par exemple, s’il est chauffeur de taxi ou VRP.

    Seul un commissaire de justice peut saisir un véhicule. Il peut le faire à la demande d’un créancier ayant un titre exécutoire.

    Vous devez charger un commissaire de justice de faire la saisie du véhicule. Pour cela, vous devez avoir un titre exécutoire.

    Le commissaire de justice peut saisir tout véhicule terrestre à moteur immatriculé (voiture, moto, scooter, quad, remorque…) appartenant au débiteur.

    Attention

    Si le véhicule est nécessaire au débiteur pour exercer personnellement son activité professionnelle, la saisie n’est pas possible (par exemple : le débiteur est chauffeur de taxi ou VRP).

    Le commissaire de justice peut saisir le véhicule :

    • Par déclaration à l’autorité administrative (par exemple, la préfecture). Dans ce cas, le débiteur ne peut plus vendre son véhicule

    • Par immobilisation. Dans ce cas, le débiteur ne peut plus utiliser son véhicule. Le véhicule peut par la suite être vendu pour vous rembourser.

    Le commissaire de justice peut engager ces 2 saisies indépendamment l’une de l’autre. L’une après l’autre, ou en même temps.

    Le commissaire de justice fait une déclaration à l’autorité administrative (par exemple : la préfecture).

    Cette déclaration vaut saisie du véhicule.

    Le commissaire de justice doit signifier la saisie au débiteur dans les 8 jours qui suivent, c’est-à-dire qu’il doit lui envoyer un acte de signification et une copie de la déclaration.

    Que doivent indiquer la déclaration à l’autorité administrative et l’acte de signification ?

    La déclaration doit obligatoirement indiquer les informations suivantes :

    • Le nom et l’adresse du débiteur

    • Numéro d’immatriculation et marque du véhicule saisi

    • Titre exécutoire du créancier.

    L’acte de signification doit indiquer les informations suivantes :

    • Décompte distinct des sommes réclamées (montant de la dette, des frais et des intérêts dus)

    • Possibilité de contester la saisie devant le juge de l’exécution du lieu où habite le débiteur (en caractères très apparents)

    • Reproduction des dispositions de  l’article R223-4 du code des procédures civiles d’exécution. 

    À savoir

    La déclaration expire au bout de 2 ans à partir de sa signification, sauf si elle est renouvelée entre-temps.

    Le débiteur peut continuer à utiliser le véhicule saisi.

    Mais, tant que la saisie n’est pas levée, il ne peut pas vendre le véhicule saisi. En effet, le certificat d’immatriculation (anciennement carte grise ) ne peut pas être délivré à un nouveau propriétaire, sauf en cas de mainlevée donnée par le créancier, ou ordonnée par le juge de l’exécution.

    La saisie du véhicule est levée après que le débiteur a payé sa dette au créancier.

    Vous pouvez contester la saisie, notamment pour au moins un des motifs suivants :

    • Le véhicule n’appartient pas au débiteur

    • Le débiteur utilise personnellement le véhicule pour son activité professionnelle

    • L’acte de signification n’est pas valable.

    Le débiteur doit présenter cette contestation par assignation devant le juge de l’exécution du tribunal dont dépend son domicile.

    Le jour-même où le juge rend sa décision, une copie de sa décision est envoyée par lettre simple au débiteur, au créancier, et au commissaire de justice.

    Le débiteur et le créancier sont également informés de la décision du juge par lettre recommandée avec accusé de réception.

    Le débiteur ou le créancier peut faire appel de la décision du juge.

    Muni d’un titre exécutoire, le commissaire de justice peut saisir votre véhicule en l’immobilisant, où qu’il se trouve.

    Selon que le débiteur est ou non présent lors de la saisie, son déroulement est différent :

    En général, le véhicule saisi est immobilisé à l’aide d’un sabot. Le numéro de téléphone du commissaire de justice doit être indiqué de manière très apparente sur l’appareil utilisé pour l’immobilisation.

    Le véhicule peut aussi être déplacé et mis en dépôt.

    L’immobilisation ne doit en aucun cas détériorer le véhicule.

    À savoir

    Le véhicule peut être immobilisé lors d’une saisie-vente, faite dans les locaux que le débiteur occupe ou dans ceux de la personne qui détient le véhicule pour le compte du débiteur.

    Le commissaire de justice établit alors un procès-verbal d’immobilisation et le remet au débiteur.

    Que doit indiquer le procès-verbal d’immobilisation ?

    Le procès-verbal d’immobilisation doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

    • Titre exécutoire autorisant la saisie

    • Date et heure de la saisie

    • Lieu de l’immobilisation (ou lieu où le véhicule a été transporté pour être mis en dépôt)

    • Description du véhicule saisi (numéro d’immatriculation, marque, couleur et, éventuellement, contenu apparent et détériorations visibles)

    • Indication que le débiteur est présent lors de la saisie.

    Dans les 8 jours qui suivent l’immobilisation, le commissaire de justice doit notifier au débiteur un commandement de payer.

    Que doit indiquer le commandement de payer ?

    Le commandement de payer doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

    • Copie du procès-verbal d’immobilisation

    • Décompte distinct des sommes réclamées (dettes, frais, intérêts dus) et du taux des intérêts

    • Avertissement que si le débiteur ne paie pas et qu’il ne vend pas le véhicule saisi dans un délai d’un mois, ce véhicule sera vendu aux enchères publiques

    • Indication que le débiteur peut contester l’immobilisation devant le juge de l’exécution dont dépend son domicile ou le lieu d’immobilisation du véhicule

    • Reproduction des dispositions des  articles R221-30 à R221-32 du code des procédures civiles d’exécution. 

      En général, le véhicule est immobilisé à l’aide d’un sabot. Le numéro de téléphone du commissaire de justice doit être indiqué de manière très apparente sur l’appareil utilisé pour l’immobilisation.

      Le véhicule peut aussi être déplacé et mis en dépôt.

      L’immobilisation ne doit en aucun cas détériorer le véhicule.

      À savoir

      Le véhicule peut être immobilisé lors d’une saisie-vente, faite dans les locaux que le débiteur occupe ou dans ceux d’une personne qui détient le véhicule pour son compte.

      Le commissaire de justice établit alors un procès-verbal d’immobilisation.

      Que doit indiquer le procès-verbal d’immobilisation ?

      Le procès-verbal d’immobilisation doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

      • Titre exécutoire autorisant la saisie

      • Date et heure de la saisie

      • Lieu de l’immobilisation (ou lieu où le véhicule a été transporté pour être mis en dépôt)

      • Description du véhicule (numéro d’immatriculation, marque, couleur et, éventuellement, contenu apparent et détériorations visibles)

      • Indication que le débiteur est ou non présent lors de la saisie.

      Le jour même de la saisie, le commissaire de justice doit informer le débiteur de l’immobilisation, par lettre simple envoyée ou déposée à son adresse.

      Cette lettre doit mentionner :

      • Titre exécutoire autorisant la saisie

      • Lieu de l’immobilisation, ou le lieu où le véhicule a été transporté pour être mis en dépôt

      • Avertissement que l’immobilisation vaut saisie

      • Avertissement que si le véhicule a été immobilisé sur la voie publique, il peut être transporté dans les 48 h dans un autre lieu (avec mention de ce lieu).

      • La mention, en caractères très apparents, que, pour obtenir une éventuelle mainlevée de l’immobilisation, le débiteur peut soit s’adresser au commissaire de justice (avec indication de son nom, adresse et numéro de téléphone)

      • Mention, en caractères très apparents, que le débiteur peut contester l’immobilisation devant le juge de l’exécution du tribunal du lieu d’immobilisation du véhicule (avec indication du siège du tribunal et de l’adresse du greffe)

      Dans les 8 jours qui suivent l’immobilisation, le commissaire de justice doit notifier au débiteur un commandement de payer.

      Que doit indiquer le commandement de payer ?

      Le commandement de payer doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

      • Copie du procès-verbal d’immobilisation

      • Décompte distinct des sommes réclamées (dettes, frais, intérêts dus) et du taux des intérêts

      • Avertissement que si le débiteur ne paie pas et que s’il ne pas le véhicule saisi dans un délai d’un mois, ce véhicule sera vendu aux enchères publiques

      • Indication que le débiteur peut contester l’immobilisation devant le juge de l’exécution de son domicile ou du lieu d’immobilisation du véhicule

      • Reproduction des dispositions des  articles R221-30 à R221-32 du code des procédures civiles d’exécution. 

        Si le débiteur ne paie pas malgré le commandement de payer, il a 1 mois pour vendre le véhicule saisi. Ce délai court à partir de la date d’immobilisation du véhicule.

        Le commissaire de justice informe le créancier des conditions de la vente, car la vente ne peut avoir lieu qu’avec l’accord du créancier.

        Passé le délai d’un mois, le véhicule saisi peut être vendu aux enchères publiques.

        Le débiteur peut contester la saisie du véhicule, notamment pour au moins 1 des motifs suivants :

        • Le véhicule n’appartient pas au débiteur

        • Le débiteur utilise personnellement le véhicule saisi pour son activité professionnelle

        • Le procès-verbal de saisie par immobilisation du véhicule n’est pas valable.

        Le débiteur doit présenter cette contestation par assignation devant le juge de l’exécution du tribunal de son domicile ou du lieu d’immobilisation du véhicule.

        Le jour-même où le juge rend sa décision, une copie de sa décision est envoyée par lettre simple au débiteur, au créancier, et au commissaire de justice.

        Le débiteur et le créancier sont également informés de la décision du juge par lettre recommandée avec accusé de réception.

        Le débiteur ou le créancier peut faire appel de la décision du juge.

      Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
      Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

      De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

      L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
      La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

      Saisie d’un véhicule à moteur

      Une personne vous doit de l’argent ? Dans ce cas, vous êtes le créancier et la personne qui vous doit de l’argent est le débiteur. En tant que créancier, vous pouvez forcer le débiteur à payer sa dette, en chargeant un commissaire de justice de saisir son véhicule (voiture, moto, scooter, quad…). Si vous êtes le débiteur, vous n’êtes averti de la saisie qu’au moment où elle a lieu. Vous pouvez par la suite contester cette saisie, mais dans certains cas seulement. Nous vous expliquons.

        Tout véhicule terrestre à moteur immatriculé (voiture, moto, scooter, quad, remorque…) peut être saisi.

        Mais si le véhicule est nécessaire au débiteur pour exercer personnellement son activité professionnelle, la saisie n’est pas possible. C’est le cas, par exemple, s’il est chauffeur de taxi ou VRP.

        Seul un commissaire de justice peut saisir un véhicule. Il peut le faire à la demande d’un créancier ayant un titre exécutoire.

        Vous devez charger un commissaire de justice de faire la saisie du véhicule. Pour cela, vous devez avoir un titre exécutoire.

        Le commissaire de justice peut saisir tout véhicule terrestre à moteur immatriculé (voiture, moto, scooter, quad, remorque…) appartenant au débiteur.

        Attention

        Si le véhicule est nécessaire au débiteur pour exercer personnellement son activité professionnelle, la saisie n’est pas possible (par exemple : le débiteur est chauffeur de taxi ou VRP).

        Le commissaire de justice peut saisir le véhicule :

        • Par déclaration à l’autorité administrative (par exemple, la préfecture). Dans ce cas, le débiteur ne peut plus vendre son véhicule

        • Par immobilisation. Dans ce cas, le débiteur ne peut plus utiliser son véhicule. Le véhicule peut par la suite être vendu pour vous rembourser.

        Le commissaire de justice peut engager ces 2 saisies indépendamment l’une de l’autre. L’une après l’autre, ou en même temps.

        Le commissaire de justice fait une déclaration à l’autorité administrative (par exemple : la préfecture).

        Cette déclaration vaut saisie du véhicule.

        Le commissaire de justice doit signifier la saisie au débiteur dans les 8 jours qui suivent, c’est-à-dire qu’il doit lui envoyer un acte de signification et une copie de la déclaration.

        Que doivent indiquer la déclaration à l’autorité administrative et l’acte de signification ?

        La déclaration doit obligatoirement indiquer les informations suivantes :

        • Le nom et l’adresse du débiteur

        • Numéro d’immatriculation et marque du véhicule saisi

        • Titre exécutoire du créancier.

        L’acte de signification doit indiquer les informations suivantes :

        • Décompte distinct des sommes réclamées (montant de la dette, des frais et des intérêts dus)

        • Possibilité de contester la saisie devant le juge de l’exécution du lieu où habite le débiteur (en caractères très apparents)

        • Reproduction des dispositions de  l’article R223-4 du code des procédures civiles d’exécution. 

        À savoir

        La déclaration expire au bout de 2 ans à partir de sa signification, sauf si elle est renouvelée entre-temps.

        Le débiteur peut continuer à utiliser le véhicule saisi.

        Mais, tant que la saisie n’est pas levée, il ne peut pas vendre le véhicule saisi. En effet, le certificat d’immatriculation (anciennement carte grise ) ne peut pas être délivré à un nouveau propriétaire, sauf en cas de mainlevée donnée par le créancier, ou ordonnée par le juge de l’exécution.

        La saisie du véhicule est levée après que le débiteur a payé sa dette au créancier.

        Vous pouvez contester la saisie, notamment pour au moins un des motifs suivants :

        • Le véhicule n’appartient pas au débiteur

        • Le débiteur utilise personnellement le véhicule pour son activité professionnelle

        • L’acte de signification n’est pas valable.

        Le débiteur doit présenter cette contestation par assignation devant le juge de l’exécution du tribunal dont dépend son domicile.

        Le jour-même où le juge rend sa décision, une copie de sa décision est envoyée par lettre simple au débiteur, au créancier, et au commissaire de justice.

        Le débiteur et le créancier sont également informés de la décision du juge par lettre recommandée avec accusé de réception.

        Le débiteur ou le créancier peut faire appel de la décision du juge.

        Muni d’un titre exécutoire, le commissaire de justice peut saisir votre véhicule en l’immobilisant, où qu’il se trouve.

        Selon que le débiteur est ou non présent lors de la saisie, son déroulement est différent :

        En général, le véhicule saisi est immobilisé à l’aide d’un sabot. Le numéro de téléphone du commissaire de justice doit être indiqué de manière très apparente sur l’appareil utilisé pour l’immobilisation.

        Le véhicule peut aussi être déplacé et mis en dépôt.

        L’immobilisation ne doit en aucun cas détériorer le véhicule.

        À savoir

        Le véhicule peut être immobilisé lors d’une saisie-vente, faite dans les locaux que le débiteur occupe ou dans ceux de la personne qui détient le véhicule pour le compte du débiteur.

        Le commissaire de justice établit alors un procès-verbal d’immobilisation et le remet au débiteur.

        Que doit indiquer le procès-verbal d’immobilisation ?

        Le procès-verbal d’immobilisation doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

        • Titre exécutoire autorisant la saisie

        • Date et heure de la saisie

        • Lieu de l’immobilisation (ou lieu où le véhicule a été transporté pour être mis en dépôt)

        • Description du véhicule saisi (numéro d’immatriculation, marque, couleur et, éventuellement, contenu apparent et détériorations visibles)

        • Indication que le débiteur est présent lors de la saisie.

        Dans les 8 jours qui suivent l’immobilisation, le commissaire de justice doit notifier au débiteur un commandement de payer.

        Que doit indiquer le commandement de payer ?

        Le commandement de payer doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

        • Copie du procès-verbal d’immobilisation

        • Décompte distinct des sommes réclamées (dettes, frais, intérêts dus) et du taux des intérêts

        • Avertissement que si le débiteur ne paie pas et qu’il ne vend pas le véhicule saisi dans un délai d’un mois, ce véhicule sera vendu aux enchères publiques

        • Indication que le débiteur peut contester l’immobilisation devant le juge de l’exécution dont dépend son domicile ou le lieu d’immobilisation du véhicule

        • Reproduction des dispositions des  articles R221-30 à R221-32 du code des procédures civiles d’exécution. 

          En général, le véhicule est immobilisé à l’aide d’un sabot. Le numéro de téléphone du commissaire de justice doit être indiqué de manière très apparente sur l’appareil utilisé pour l’immobilisation.

          Le véhicule peut aussi être déplacé et mis en dépôt.

          L’immobilisation ne doit en aucun cas détériorer le véhicule.

          À savoir

          Le véhicule peut être immobilisé lors d’une saisie-vente, faite dans les locaux que le débiteur occupe ou dans ceux d’une personne qui détient le véhicule pour son compte.

          Le commissaire de justice établit alors un procès-verbal d’immobilisation.

          Que doit indiquer le procès-verbal d’immobilisation ?

          Le procès-verbal d’immobilisation doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

          • Titre exécutoire autorisant la saisie

          • Date et heure de la saisie

          • Lieu de l’immobilisation (ou lieu où le véhicule a été transporté pour être mis en dépôt)

          • Description du véhicule (numéro d’immatriculation, marque, couleur et, éventuellement, contenu apparent et détériorations visibles)

          • Indication que le débiteur est ou non présent lors de la saisie.

          Le jour même de la saisie, le commissaire de justice doit informer le débiteur de l’immobilisation, par lettre simple envoyée ou déposée à son adresse.

          Cette lettre doit mentionner :

          • Titre exécutoire autorisant la saisie

          • Lieu de l’immobilisation, ou le lieu où le véhicule a été transporté pour être mis en dépôt

          • Avertissement que l’immobilisation vaut saisie

          • Avertissement que si le véhicule a été immobilisé sur la voie publique, il peut être transporté dans les 48 h dans un autre lieu (avec mention de ce lieu).

          • La mention, en caractères très apparents, que, pour obtenir une éventuelle mainlevée de l’immobilisation, le débiteur peut soit s’adresser au commissaire de justice (avec indication de son nom, adresse et numéro de téléphone)

          • Mention, en caractères très apparents, que le débiteur peut contester l’immobilisation devant le juge de l’exécution du tribunal du lieu d’immobilisation du véhicule (avec indication du siège du tribunal et de l’adresse du greffe)

          Dans les 8 jours qui suivent l’immobilisation, le commissaire de justice doit notifier au débiteur un commandement de payer.

          Que doit indiquer le commandement de payer ?

          Le commandement de payer doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

          • Copie du procès-verbal d’immobilisation

          • Décompte distinct des sommes réclamées (dettes, frais, intérêts dus) et du taux des intérêts

          • Avertissement que si le débiteur ne paie pas et que s’il ne pas le véhicule saisi dans un délai d’un mois, ce véhicule sera vendu aux enchères publiques

          • Indication que le débiteur peut contester l’immobilisation devant le juge de l’exécution de son domicile ou du lieu d’immobilisation du véhicule

          • Reproduction des dispositions des  articles R221-30 à R221-32 du code des procédures civiles d’exécution. 

            Si le débiteur ne paie pas malgré le commandement de payer, il a 1 mois pour vendre le véhicule saisi. Ce délai court à partir de la date d’immobilisation du véhicule.

            Le commissaire de justice informe le créancier des conditions de la vente, car la vente ne peut avoir lieu qu’avec l’accord du créancier.

            Passé le délai d’un mois, le véhicule saisi peut être vendu aux enchères publiques.

            Le débiteur peut contester la saisie du véhicule, notamment pour au moins 1 des motifs suivants :

            • Le véhicule n’appartient pas au débiteur

            • Le débiteur utilise personnellement le véhicule saisi pour son activité professionnelle

            • Le procès-verbal de saisie par immobilisation du véhicule n’est pas valable.

            Le débiteur doit présenter cette contestation par assignation devant le juge de l’exécution du tribunal de son domicile ou du lieu d’immobilisation du véhicule.

            Le jour-même où le juge rend sa décision, une copie de sa décision est envoyée par lettre simple au débiteur, au créancier, et au commissaire de justice.

            Le débiteur et le créancier sont également informés de la décision du juge par lettre recommandée avec accusé de réception.

            Le débiteur ou le créancier peut faire appel de la décision du juge.

          Vous êtes propriétaire ou locataire ?
          Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

          De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

          L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

          Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
          Les contrevenants s’exposent à une contravention.

          Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

          En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

          Contact