Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Travail de nuit du salarié du secteur privé

Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Il doit être exceptionnel. L’employeur peut dans ce cas faire travailler les salariés de nuit. Nous faisons un point sur la réglementation.

La réglementation varie selon qu’un accord collectif sur le travail de nuit est applicable dans l’entreprise ou non.

Conditions de travail dans le secteur privé

    La période de travail de nuit est définie par accord collectif.

    Cette période est différente dans certains secteurs d’activité.

    L’accord collectif définit la période de travail de nuit.

    Cette période est de 9 heures de suite. Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

    Cette période commence au plus tôt à 21 heures et se termine au plus tard à 7 heures.

      Dans le secteur des activités de production rédactionnelle et industrielle de presse, la période de travail de nuit est de 7 heures de suite ou plus.

      Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

        La période de travail de nuit est de 7 heures de suite ou plus.

        Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

          La période de travail de nuit est de 7 heures de suite ou plus.

          Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

            Ls règles varient selon que le travail de nuit débute avant 22 heures ou après 22 heures.

            Dans les établissements de vente au détail situés dans les ZTI, la période de travail de nuit est de 9 heures de suite ou plus.

            Elle comprend l’intervalle entre minuit et 7 heures.

              Dans les établissements de vente au détail situés dans les ZTI, la période de travail de nuit peut pas être inférieure à 9 heures.

              Elle est d’au moins 7 heures consécutives.

              Elle comprend l’intervalle entre minuit et 7 heures.

                  L’accord collectif définit les salariés concernés.

                  Il précise les points suivants :

                  • Fréquence et nombre d’heures de travail de nuit. Exemple : salarié qui accomplit 2 fois par semaine, 2 heures de travail sur la plage horaire de nuit.

                  • Nombre minimal d’heures de travail de nuit et période de référence. Exemple : salarié qui accomplit 200 heures de travail sur la plage horaire de nuit du 1er janvier au 31 décembre.

                  Un service en ligne vous permet de rechercher une convention collective :

                • Rechercher une convention collective étendue
                • À savoir

                  le travail de nuit des jeunes de moins de 18 ans est interdit. Dans certains secteurs (boulangerie par exemple), des dérogations à cette interdiction peuvent être données par l’inspecteur du travail.

                  Durée quotidienne

                  L’accord collectif définit la durée maximale quotidienne du travail de nuit.

                  En l’absence de précisions dans l’accord, la durée quotidienne de travail de nuit ne peut pas dépasser 8 heures de suite.

                  Durée hebdomadaire

                  L’accord collectif définit la durée maximale hebdomadaire du travail de nuit.

                  Cette durée, calculée sur une période de 12 semaines de suite, ne peut pas dépasser 40 heures par semaine en moyenne.

                  Si l’activité du secteur le justifie, l’accord collectif peut porter cette durée maximale hebdomadaire à 44 heures sur 12 semaines de suite.

                  L’accord collectif définit la durée du repos quotidien.

                  En l’absence de précisions dans l’accord, le travailleur de nuit bénéficie d’un repos quotidien de 11 heures pris obligatoirement après la période travaillée.

                  L’accord collectif fixe les contreparties au travail de nuit.

                  Ces contreparties sous forme de repos compensateur sont obligatoires.

                  Une majoration de salaire peut s’ajouter au repos compensateur.

                  À savoir

                  L’accord collectif peut également prévoir des contreparties pour le salarié qui n’a pas le statut de travailleur de nuit (majoration de salaire pour travail exceptionnel de nuit par exemple).

                  Le fait de travailler de nuit permet au salarié de bénéficier d’un certain nombre de garanties.

                  Le travailleur de nuit a-t-il une surveillance médicale spécifique ?

                  Avant son affectation à un poste de travail de nuit, le travailleur de nuit doit passer une visite d’information et de prévention (Vip).

                  Cette visite est réalisée par un professionnel de santé (médecin de travail, infirmier par exemple).

                  Le médecin du travail peut prescrire des examens spécialisés complémentaires. Ils sont à la charge de l’employeur.

                  Peut-on obliger un salarié à travailler la nuit ?

                  L’employeur ne peut pas imposer le travail de nuit à un travailleur de jour.

                  L’affectation à un poste de nuit est une modification du contrat de travail que le salarié peut refuser.

                  Face au refus du salarié, l’employeur peut annuler cette proposition de modification du contrat de travail ou entamer une procédure de licenciement.

                    Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’un enfant par exemple), le refus du salarié de travailler de nuit ne constitue pas une faute ou un motif de licenciement.

                      Le travailleur de nuit peut-il demander un retour à un poste de jour ?

                      Dans certains cas, le travailleur de nuit peut bénéficier d’une affectation à un poste de jour.

                      Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’enfants par exemple), le salarié peut demander à travailler sur un poste de jour sous réserve d’un poste disponible.

                        Si l’état de santé du salarié, constaté par le médecin du travail, l’exige, le salarié est affecté à un poste de jour.

                        Ce poste correspond à sa qualification.

                        Sur sa demande, ou si le médecin du travail le recommande, la salariée enceinte ou venant d’accoucher bénéficie d’un reclassement sur un poste « de jour ».

                          Si le salarié souhaite occuper ou reprendre un poste de jour, il bénéficie d’une priorité pour l’attribution d’un emploi ressortissant de sa catégorie professionnelle ou d’un emploi équivalent.

                          L’employeur doit l’informer des emplois disponibles correspondants.

                          À savoir

                          cette priorité d’emploi s’applique également si un travailleur de jour souhaite occuper ou reprendre un poste de nuit.

                            Tout travail accompli entre 21 heures et 6 heures est considéré comme du travail de nuit.

                            Si les caractéristiques de l’activité de l’entreprise le justifient, l’inspecteur du travail peut autoriser la définition d’une autre période.

                            Cette période est différente dans certains secteurs d’activité.

                            Tout travail effectué au cours d’une période d’au moins 9 heures de suite comprenant l’intervalle entre minuit et 5 heures est considéré comme du travail de nuit.

                            La période de travail de nuit commence au plus tôt à 21 heures et se termine au plus tard à 6 heures.

                            Si les caractéristiques de l’activité de l’entreprise le justifient, l’inspecteur du travail peut autoriser la définition d’une autre période.

                            Cette décision est prise après consultation des délégués syndicaux et avis du comité social et économique (CSE), s’ils existent.

                              Dans le secteur des activités de production rédactionnelle et industrielle de la presse, la période de travail accomplie entre minuit et 7 heures est considérée comme du travail de nuit.

                                La période de travail accomplie entre minuit et 7 heures est considérée comme du travail de nuit.

                                  La période de travail accomplie entre minuit et 7 heures est considérée comme du travail de nuit.

                                    Dans les établissements de vente au détail situés dans les ZTI, le travail accompli entre 21 heures et 6 heures est considéré comme du travail de nuit.

                                      Un salarié est considéré comme travailleur de nuit s’il remplit l’une les conditions suivantes :

                                      • Travaille au moins 2 fois par semaine, selon son horaire de travail habituel, au moins 3 heures sur la période de travail de nuit

                                      • Effectue 270 heures de nuit sur une période de référence de 12 mois continus

                                      Dans les établissements de vente au détail des ZTI, les heures accomplies en soirée (entre 21 heures et le début de la période de nuit) sont prises en compte pour avoir le statut de travailleur de nuit.

                                      À savoir

                                      Le travail de nuit des jeunes de moins de 18 ans est interdit. Dans certains secteurs (boulangerie par exemple), des dérogations à cette interdiction peuvent être données par l’inspecteur du travail.

                                      Durée quotidienne

                                      La durée quotidienne de travail de nuit ne peut pas dépasser 8 heures de suite.

                                      En cas de circonstances exceptionnelles, l’inspecteur du travail peut autoriser le dépassement de 8 heures de suite.

                                      Dans ce cas, l’employeur consulte les délégués syndicaux et demande l’avis du comité social et économique (CSE).

                                      En l’absence d’institution représentative du personnel, l’employeur doit transmettre un document attestant de l’information préalable des salariés.

                                      La demande, accompagnée des justificatifs nécessaires, est transmise par l’employeur à l’inspecteur du travail.

                                      Durée hebdomadaire

                                      La durée du travail de nuit, calculée sur une période de 12 semaines continues, ne peut pas dépasser 40 heures par semaine en moyenne.

                                      Le travailleur de nuit bénéficie d’un repos quotidien de 11 heures pris obligatoirement après la période travaillée.

                                      Les contreparties sous forme de repos compensateur sont obligatoires.

                                      Une majoration de salaire peut s’ajouter au repos compensateur.

                                      Le fait de travailler de nuit permet au salarié de bénéficier d’un certain nombre de garanties.

                                      Le travailleur de nuit a-t-il une surveillance médicale spécifique ?

                                      Avant son affectation à un poste de travail de nuit, le travailleur de nuit doit passer une visite d’information et de prévention (Vip).

                                      Cette visite est réalisée par un professionnel de santé (médecin de travail, infirmier par exemple).

                                      Le médecin du travail peut prescrire des examens spécialisés complémentaires. Ils sont à la charge de l’employeur.

                                      Peut-on obliger un salarié à travailler la nuit ?

                                      L’employeur ne peut pas imposer le travail de nuit à un travailleur de jour.

                                      L’affectation à un poste de nuit est une modification du contrat de travail que le salarié peut refuser.

                                      Face au refus du salarié, l’employeur peut annuler cette proposition de modification du contrat de travail ou entamer une procédure de licenciement.

                                        Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’un enfant par exemple), le refus du salarié de travailler de nuit ne constitue pas une faute ou un motif de licenciement.

                                          Le travailleur de nuit peut-il demander un retour à un poste de jour ?

                                          Dans certains cas, le travailleur de nuit peut bénéficier d’une affectation à un poste de jour.

                                          Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’enfants par exemple), le salarié peut demander à travailler sur un poste de jour sous réserve d’un poste disponible.

                                            Si l’état de santé du salarié, constaté par le médecin du travail, l’exige, le salarié est affecté à un poste de jour.

                                            Ce poste correspond à sa qualification.

                                            Sur sa demande, ou si le médecin du travail le recommande, la salariée enceinte ou venant d’accoucher bénéficie d’un reclassement sur un poste « de jour ».

                                              Si le salarié souhaite occuper ou reprendre un poste de jour, il bénéficie d’une priorité pour l’attribution d’un emploi ressortissant de sa catégorie professionnelle ou d’un emploi équivalent.

                                              L’employeur doit l’informer des emplois disponibles correspondants.

                                              À savoir

                                              cette priorité d’emploi s’applique également si un travailleur de jour souhaite occuper ou reprendre un poste de nuit.

                                              Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
                                              Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

                                              De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

                                              L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
                                              La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

                                              Travail de nuit du salarié du secteur privé

                                              Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Il doit être exceptionnel. L’employeur peut dans ce cas faire travailler les salariés de nuit. Nous faisons un point sur la réglementation.

                                              La réglementation varie selon qu’un accord collectif sur le travail de nuit est applicable dans l’entreprise ou non.

                                              Conditions de travail dans le secteur privé

                                                La période de travail de nuit est définie par accord collectif.

                                                Cette période est différente dans certains secteurs d’activité.

                                                L’accord collectif définit la période de travail de nuit.

                                                Cette période est de 9 heures de suite. Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

                                                Cette période commence au plus tôt à 21 heures et se termine au plus tard à 7 heures.

                                                  Dans le secteur des activités de production rédactionnelle et industrielle de presse, la période de travail de nuit est de 7 heures de suite ou plus.

                                                  Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

                                                    La période de travail de nuit est de 7 heures de suite ou plus.

                                                    Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

                                                      La période de travail de nuit est de 7 heures de suite ou plus.

                                                      Elle comprend l’intervalle entre minuit et 5 heures.

                                                        Ls règles varient selon que le travail de nuit débute avant 22 heures ou après 22 heures.

                                                        Dans les établissements de vente au détail situés dans les ZTI, la période de travail de nuit est de 9 heures de suite ou plus.

                                                        Elle comprend l’intervalle entre minuit et 7 heures.

                                                          Dans les établissements de vente au détail situés dans les ZTI, la période de travail de nuit peut pas être inférieure à 9 heures.

                                                          Elle est d’au moins 7 heures consécutives.

                                                          Elle comprend l’intervalle entre minuit et 7 heures.

                                                              L’accord collectif définit les salariés concernés.

                                                              Il précise les points suivants :

                                                              • Fréquence et nombre d’heures de travail de nuit. Exemple : salarié qui accomplit 2 fois par semaine, 2 heures de travail sur la plage horaire de nuit.

                                                              • Nombre minimal d’heures de travail de nuit et période de référence. Exemple : salarié qui accomplit 200 heures de travail sur la plage horaire de nuit du 1er janvier au 31 décembre.

                                                              Un service en ligne vous permet de rechercher une convention collective :

                                                            • Rechercher une convention collective étendue
                                                            • À savoir

                                                              le travail de nuit des jeunes de moins de 18 ans est interdit. Dans certains secteurs (boulangerie par exemple), des dérogations à cette interdiction peuvent être données par l’inspecteur du travail.

                                                              Durée quotidienne

                                                              L’accord collectif définit la durée maximale quotidienne du travail de nuit.

                                                              En l’absence de précisions dans l’accord, la durée quotidienne de travail de nuit ne peut pas dépasser 8 heures de suite.

                                                              Durée hebdomadaire

                                                              L’accord collectif définit la durée maximale hebdomadaire du travail de nuit.

                                                              Cette durée, calculée sur une période de 12 semaines de suite, ne peut pas dépasser 40 heures par semaine en moyenne.

                                                              Si l’activité du secteur le justifie, l’accord collectif peut porter cette durée maximale hebdomadaire à 44 heures sur 12 semaines de suite.

                                                              L’accord collectif définit la durée du repos quotidien.

                                                              En l’absence de précisions dans l’accord, le travailleur de nuit bénéficie d’un repos quotidien de 11 heures pris obligatoirement après la période travaillée.

                                                              L’accord collectif fixe les contreparties au travail de nuit.

                                                              Ces contreparties sous forme de repos compensateur sont obligatoires.

                                                              Une majoration de salaire peut s’ajouter au repos compensateur.

                                                              À savoir

                                                              L’accord collectif peut également prévoir des contreparties pour le salarié qui n’a pas le statut de travailleur de nuit (majoration de salaire pour travail exceptionnel de nuit par exemple).

                                                              Le fait de travailler de nuit permet au salarié de bénéficier d’un certain nombre de garanties.

                                                              Le travailleur de nuit a-t-il une surveillance médicale spécifique ?

                                                              Avant son affectation à un poste de travail de nuit, le travailleur de nuit doit passer une visite d’information et de prévention (Vip).

                                                              Cette visite est réalisée par un professionnel de santé (médecin de travail, infirmier par exemple).

                                                              Le médecin du travail peut prescrire des examens spécialisés complémentaires. Ils sont à la charge de l’employeur.

                                                              Peut-on obliger un salarié à travailler la nuit ?

                                                              L’employeur ne peut pas imposer le travail de nuit à un travailleur de jour.

                                                              L’affectation à un poste de nuit est une modification du contrat de travail que le salarié peut refuser.

                                                              Face au refus du salarié, l’employeur peut annuler cette proposition de modification du contrat de travail ou entamer une procédure de licenciement.

                                                                Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’un enfant par exemple), le refus du salarié de travailler de nuit ne constitue pas une faute ou un motif de licenciement.

                                                                  Le travailleur de nuit peut-il demander un retour à un poste de jour ?

                                                                  Dans certains cas, le travailleur de nuit peut bénéficier d’une affectation à un poste de jour.

                                                                  Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’enfants par exemple), le salarié peut demander à travailler sur un poste de jour sous réserve d’un poste disponible.

                                                                    Si l’état de santé du salarié, constaté par le médecin du travail, l’exige, le salarié est affecté à un poste de jour.

                                                                    Ce poste correspond à sa qualification.

                                                                    Sur sa demande, ou si le médecin du travail le recommande, la salariée enceinte ou venant d’accoucher bénéficie d’un reclassement sur un poste « de jour ».

                                                                      Si le salarié souhaite occuper ou reprendre un poste de jour, il bénéficie d’une priorité pour l’attribution d’un emploi ressortissant de sa catégorie professionnelle ou d’un emploi équivalent.

                                                                      L’employeur doit l’informer des emplois disponibles correspondants.

                                                                      À savoir

                                                                      cette priorité d’emploi s’applique également si un travailleur de jour souhaite occuper ou reprendre un poste de nuit.

                                                                        Tout travail accompli entre 21 heures et 6 heures est considéré comme du travail de nuit.

                                                                        Si les caractéristiques de l’activité de l’entreprise le justifient, l’inspecteur du travail peut autoriser la définition d’une autre période.

                                                                        Cette période est différente dans certains secteurs d’activité.

                                                                        Tout travail effectué au cours d’une période d’au moins 9 heures de suite comprenant l’intervalle entre minuit et 5 heures est considéré comme du travail de nuit.

                                                                        La période de travail de nuit commence au plus tôt à 21 heures et se termine au plus tard à 6 heures.

                                                                        Si les caractéristiques de l’activité de l’entreprise le justifient, l’inspecteur du travail peut autoriser la définition d’une autre période.

                                                                        Cette décision est prise après consultation des délégués syndicaux et avis du comité social et économique (CSE), s’ils existent.

                                                                          Dans le secteur des activités de production rédactionnelle et industrielle de la presse, la période de travail accomplie entre minuit et 7 heures est considérée comme du travail de nuit.

                                                                            La période de travail accomplie entre minuit et 7 heures est considérée comme du travail de nuit.

                                                                              La période de travail accomplie entre minuit et 7 heures est considérée comme du travail de nuit.

                                                                                Dans les établissements de vente au détail situés dans les ZTI, le travail accompli entre 21 heures et 6 heures est considéré comme du travail de nuit.

                                                                                  Un salarié est considéré comme travailleur de nuit s’il remplit l’une les conditions suivantes :

                                                                                  • Travaille au moins 2 fois par semaine, selon son horaire de travail habituel, au moins 3 heures sur la période de travail de nuit

                                                                                  • Effectue 270 heures de nuit sur une période de référence de 12 mois continus

                                                                                  Dans les établissements de vente au détail des ZTI, les heures accomplies en soirée (entre 21 heures et le début de la période de nuit) sont prises en compte pour avoir le statut de travailleur de nuit.

                                                                                  À savoir

                                                                                  Le travail de nuit des jeunes de moins de 18 ans est interdit. Dans certains secteurs (boulangerie par exemple), des dérogations à cette interdiction peuvent être données par l’inspecteur du travail.

                                                                                  Durée quotidienne

                                                                                  La durée quotidienne de travail de nuit ne peut pas dépasser 8 heures de suite.

                                                                                  En cas de circonstances exceptionnelles, l’inspecteur du travail peut autoriser le dépassement de 8 heures de suite.

                                                                                  Dans ce cas, l’employeur consulte les délégués syndicaux et demande l’avis du comité social et économique (CSE).

                                                                                  En l’absence d’institution représentative du personnel, l’employeur doit transmettre un document attestant de l’information préalable des salariés.

                                                                                  La demande, accompagnée des justificatifs nécessaires, est transmise par l’employeur à l’inspecteur du travail.

                                                                                  Durée hebdomadaire

                                                                                  La durée du travail de nuit, calculée sur une période de 12 semaines continues, ne peut pas dépasser 40 heures par semaine en moyenne.

                                                                                  Le travailleur de nuit bénéficie d’un repos quotidien de 11 heures pris obligatoirement après la période travaillée.

                                                                                  Les contreparties sous forme de repos compensateur sont obligatoires.

                                                                                  Une majoration de salaire peut s’ajouter au repos compensateur.

                                                                                  Le fait de travailler de nuit permet au salarié de bénéficier d’un certain nombre de garanties.

                                                                                  Le travailleur de nuit a-t-il une surveillance médicale spécifique ?

                                                                                  Avant son affectation à un poste de travail de nuit, le travailleur de nuit doit passer une visite d’information et de prévention (Vip).

                                                                                  Cette visite est réalisée par un professionnel de santé (médecin de travail, infirmier par exemple).

                                                                                  Le médecin du travail peut prescrire des examens spécialisés complémentaires. Ils sont à la charge de l’employeur.

                                                                                  Peut-on obliger un salarié à travailler la nuit ?

                                                                                  L’employeur ne peut pas imposer le travail de nuit à un travailleur de jour.

                                                                                  L’affectation à un poste de nuit est une modification du contrat de travail que le salarié peut refuser.

                                                                                  Face au refus du salarié, l’employeur peut annuler cette proposition de modification du contrat de travail ou entamer une procédure de licenciement.

                                                                                    Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’un enfant par exemple), le refus du salarié de travailler de nuit ne constitue pas une faute ou un motif de licenciement.

                                                                                      Le travailleur de nuit peut-il demander un retour à un poste de jour ?

                                                                                      Dans certains cas, le travailleur de nuit peut bénéficier d’une affectation à un poste de jour.

                                                                                      Si le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses (garde d’enfants par exemple), le salarié peut demander à travailler sur un poste de jour sous réserve d’un poste disponible.

                                                                                        Si l’état de santé du salarié, constaté par le médecin du travail, l’exige, le salarié est affecté à un poste de jour.

                                                                                        Ce poste correspond à sa qualification.

                                                                                        Sur sa demande, ou si le médecin du travail le recommande, la salariée enceinte ou venant d’accoucher bénéficie d’un reclassement sur un poste « de jour ».

                                                                                          Si le salarié souhaite occuper ou reprendre un poste de jour, il bénéficie d’une priorité pour l’attribution d’un emploi ressortissant de sa catégorie professionnelle ou d’un emploi équivalent.

                                                                                          L’employeur doit l’informer des emplois disponibles correspondants.

                                                                                          À savoir

                                                                                          cette priorité d’emploi s’applique également si un travailleur de jour souhaite occuper ou reprendre un poste de nuit.

                                                                                          Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                                                                                          Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                                                                                          De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                                                                                          L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                                                                                          Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                                                                                          Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                                                                                          Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                                                                                          En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

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