Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Copropriété : travaux et aménagements dans l’appartement du propriétaire occupant

Vous souhaitez réaliser des travaux dans votre appartement ? Nous vous indiquons quelles sont les règles à respecter selon que les travaux privatifs ont un impact ou non sur les parties communes.

Les travaux privatifs sont ceux qui ne sont pas à la charge du syndicat des copropriétaires mais sont financés par le copropriétaire qui les réalise ou les fait exécuter. Ils portent sur les parties privatives, celles réservées à l’usage exclusif du copropriétaire. Toutefois ces travaux peuvent avoir un impact sur les parties communes de l’immeuble.

Droits des copropriétaires

      Chaque copropriétaire dispose des parties privatives comprises dans son lot (fenêtres, portes, volets, revêtements de sol, sauf dispositions contraires du règlement de copropriété).

      Vous êtes donc libre, en principe, de faire des travaux dans votre appartement sans avoir besoin d’autorisation de l’assemblée générale des copropriétaires pour effectuer ces travaux.

      La liberté de réaliser des travaux dans vos parties privatives connait 3 limites :

      • La destination de l’immeuble

      • L’aspect extérieur de l’immeuble

      • Les droits des autres copropriétaires

      Destination de l’immeuble

      L’usage des parties privatives de votre logement doit être conforme à la destination de l’immeuble fixée par le règlement de copropriété.

      L’architecture, la situation du bien, les services ou équipements existants permettent, notamment, de définir la destination de l’immeuble.

      Par exemple, monter une cloison dans votre appartement pour le diviser en 2 lots pour de la location touristique peut être interdit si cela n’est pas conforme à la destination de l’immeuble.

      Vous devez donc vérifier avant de réaliser vos travaux qu’ils ne seront pas contraire à la destination de l’immeuble.

      La réalisation de travaux portant atteinte à la destination de l’immeuble nécessite un vote en assemblée générale des copropriétaires adopté à l’unanimité.

      Aspect extérieur de l’immeuble

      Lorsque les travaux affectent l’aspect extérieur de l’immeuble (par exemple, fermeture d’un balcon, création de fenêtre), vous devez obtenir une autorisation de l’assemblée générale des copropriétaires avant de pouvoir les engager.

      La majorité requise va dépendre de la nature des travaux.

      En général, un vote à la majorité absolue dite de l’article 25 est exigé. Toutefois, un vote à la double majorité dite de l’article 26 peut être exigé.

      La majorité absolue (dite majorité de l’article 25 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965) correspond à la majorité des voix de tous les copropriétaires de l’immeuble (présents, représentés et absents).

      Si la décision a reçu au moins ⅓ des voix, elle peut faire l’objet d’un 2nd vote à la majorité simple de l’article 24 (majorité des voix des copropriétaires présents, représentés ou ayant voté par correspondance).

      La double majorité (dite majorité de l’article 26 ) correspond à la majorité des copropriétaires de l’immeuble représentant au moins les 2/3 des voix des copropriétaires.

      Exemple

      Dans une copropriété de 10 copropriétaires (représentant au total 1000 millièmes), une décision est adoptée si 6 copropriétaires détenant 700 millièmes, soit plus des 2/3 de tous les tantièmes (2/3 de 1000 = 667), valident cette décision.

      Si cette majorité est difficile à obtenir, il est possible de faire un 2nd vote à une majorité plus simple. C’est ce que l’on appelle la double majorité . Pour que ce 2nd vote soit possible, il faut que la résolution recueille l’approbation de la moitié des copropriétaires représentant au moins ⅓ des voix de tous les copropriétaires. La même assemblée pourra alors voter la résolution à la majorité des voix de tous les copropriétaires, c’est-à-dire à la majorité dite de l’article 25 (plus facile à obtenir).

      Dans certains cas, les travaux ayant obtenu l’accord des copropriétaires nécessitent également une autorisation d’urbanisme.

      Il s’agit par exemple des travaux suivants :

      • Changement de fenêtres (à l’exception de travaux de réparation ou de remplacement à l’identique)

      • Création d’ouverture donnant sur l’extérieur (œil-de-bœuf, fenêtre, Velux…)

      • Changement de couleur des volets ou fenêtres

      • Pose de volets ou de barreaux aux fenêtres

      Droits des autres copropriétaires

      L’usage exclusif des parties privatives s’effectue librement à la condition de ne pas porter atteinte aux droits des autres copropriétaires.

      Par exemple, les travaux ne doivent pas créer de dommages, de troubles de voisinage

      Pour prévenir cela, le règlement de copropriété peut interdire certaines actions. Vous devez donc vérifier le règlement de copropriété avant de réaliser vos travaux.

      La réalisation de travaux portant atteinte aux droits des autres copropriétaires nécessite un vote en assemblée générale des copropriétaires adopté à l’unanimité.

      Les travaux réalisés en l’absence d’un vote lorsque ce vote est nécessaire sont donc illégaux.

      Les copropriétaires qui en ont connaissance peuvent en informer le syndic de copropriété.

      Le syndic va demander au copropriétaire de remettre en état le logement.

      En cas d’inaction du copropriétaire, le syndic doit tenter un règlement amiable avant de faire un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu de situation de l’immeuble. Pour cela, il doit faire appel à un conciliateur de justice (démarche gratuite) ou à un médiateur (démarche payante) ou à une procédure participative (démarche payante avec recours à un avocat).

      En cas d’échec, le syndic pourra exercer son recours devant le tribunal judiciaire.

      À noter

      Le recours devant le tribunal judiciaire peut être exercé pendant 10 ans. Après ce délai, il n’est plus possible de contester les travaux illégaux.

      Des travaux privatifs peuvent avoir un impact sur les parties communes.

      À l’intérieur de votre logement, les parties considérées comme des parties communes sont les suivantes :

      • Gros œuvre du bâtiment (structure porteuse de l’immeuble)

      • Sol

      • Parties de canalisations qui traversent les logements

      • Coffres, gaines et têtes de cheminées

      Ainsi, lorsque vous réalisez, par exemple, des travaux qui ont un impact sur le système de chauffage collectif de l’immeuble, vous portez atteinte aux parties communes.

      De ce fait, pour réaliser ce type de travaux, vous devez obtenir l’accord des autres copropriétaires en assemblée générale.

      La majorité requise va dépendre de la nature des travaux.

      En général, un vote à la majorité absolue dite de l’article 25 est exigé (c’est la cas, par exemple, pour l’abattement d’un mur ou la création d’une porte). Par contre, en cas d’appropriation ou destruction d’une partie commune, un vote à la double majorité dite de l’article 26 est exigé.

      La majorité absolue (dite majorité de l’article 25 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965) correspond à la majorité des voix de tous les copropriétaires de l’immeuble (présents, représentés et absents).

      Si la décision a reçu au moins ⅓ des voix, elle peut faire l’objet d’un 2nd vote à la majorité simple de l’article 24 (majorité des voix des copropriétaires présents, représentés ou ayant voté par correspondance).

      La double majorité (dite majorité de l’article 26 ) correspond à la majorité des copropriétaires de l’immeuble représentant au moins les 2/3 des voix des copropriétaires.

      Exemple

      Dans une copropriété de 10 copropriétaires (représentant au total 1000 millièmes), une décision est adoptée si 6 copropriétaires détenant 700 millièmes, soit plus des 2/3 de tous les tantièmes (2/3 de 1000 = 667), valident cette décision.

      Si cette majorité est difficile à obtenir, il est possible de faire un 2nd vote à une majorité plus simple. C’est ce que l’on appelle la double majorité . Pour que ce 2nd vote soit possible, il faut que la résolution recueille l’approbation de la moitié des copropriétaires représentant au moins ⅓ des voix de tous les copropriétaires. La même assemblée pourra alors voter la résolution à la majorité des voix de tous les copropriétaires, c’est-à-dire à la majorité dite de l’article 25 (plus facile à obtenir).

      Les travaux réalisés en l’absence d’un vote sont donc illégaux.

      Les copropriétaires qui en ont connaissance peuvent en informer le syndic de copropriété.

      Le syndic va demander au copropriétaire de remettre en état le logement.

      En cas d’inaction du copropriétaire, le syndic doit tenter un règlement amiable avant de faire un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu de situation de l’immeuble. Pour cela, il doit faire appel à un conciliateur de justice (démarche gratuite) ou à un médiateur (démarche payante) ou à une procédure participative (démarche payante avec recours à un avocat).

      En cas d’échec, le syndic pourra exercer son recours devant le tribunal judiciaire.

      À noter

      Le recours devant le tribunal judiciaire peut être exercé pendant 10 ans. Après ce délai, il n’est plus possible de contester les travaux illégaux.

    Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
    Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

    De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

    L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
    La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

    Copropriété : travaux et aménagements dans l’appartement du propriétaire occupant

    Vous souhaitez réaliser des travaux dans votre appartement ? Nous vous indiquons quelles sont les règles à respecter selon que les travaux privatifs ont un impact ou non sur les parties communes.

    Les travaux privatifs sont ceux qui ne sont pas à la charge du syndicat des copropriétaires mais sont financés par le copropriétaire qui les réalise ou les fait exécuter. Ils portent sur les parties privatives, celles réservées à l’usage exclusif du copropriétaire. Toutefois ces travaux peuvent avoir un impact sur les parties communes de l’immeuble.

    Droits des copropriétaires

        Chaque copropriétaire dispose des parties privatives comprises dans son lot (fenêtres, portes, volets, revêtements de sol, sauf dispositions contraires du règlement de copropriété).

        Vous êtes donc libre, en principe, de faire des travaux dans votre appartement sans avoir besoin d’autorisation de l’assemblée générale des copropriétaires pour effectuer ces travaux.

        La liberté de réaliser des travaux dans vos parties privatives connait 3 limites :

        • La destination de l’immeuble

        • L’aspect extérieur de l’immeuble

        • Les droits des autres copropriétaires

        Destination de l’immeuble

        L’usage des parties privatives de votre logement doit être conforme à la destination de l’immeuble fixée par le règlement de copropriété.

        L’architecture, la situation du bien, les services ou équipements existants permettent, notamment, de définir la destination de l’immeuble.

        Par exemple, monter une cloison dans votre appartement pour le diviser en 2 lots pour de la location touristique peut être interdit si cela n’est pas conforme à la destination de l’immeuble.

        Vous devez donc vérifier avant de réaliser vos travaux qu’ils ne seront pas contraire à la destination de l’immeuble.

        La réalisation de travaux portant atteinte à la destination de l’immeuble nécessite un vote en assemblée générale des copropriétaires adopté à l’unanimité.

        Aspect extérieur de l’immeuble

        Lorsque les travaux affectent l’aspect extérieur de l’immeuble (par exemple, fermeture d’un balcon, création de fenêtre), vous devez obtenir une autorisation de l’assemblée générale des copropriétaires avant de pouvoir les engager.

        La majorité requise va dépendre de la nature des travaux.

        En général, un vote à la majorité absolue dite de l’article 25 est exigé. Toutefois, un vote à la double majorité dite de l’article 26 peut être exigé.

        La majorité absolue (dite majorité de l’article 25 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965) correspond à la majorité des voix de tous les copropriétaires de l’immeuble (présents, représentés et absents).

        Si la décision a reçu au moins ⅓ des voix, elle peut faire l’objet d’un 2nd vote à la majorité simple de l’article 24 (majorité des voix des copropriétaires présents, représentés ou ayant voté par correspondance).

        La double majorité (dite majorité de l’article 26 ) correspond à la majorité des copropriétaires de l’immeuble représentant au moins les 2/3 des voix des copropriétaires.

        Exemple

        Dans une copropriété de 10 copropriétaires (représentant au total 1000 millièmes), une décision est adoptée si 6 copropriétaires détenant 700 millièmes, soit plus des 2/3 de tous les tantièmes (2/3 de 1000 = 667), valident cette décision.

        Si cette majorité est difficile à obtenir, il est possible de faire un 2nd vote à une majorité plus simple. C’est ce que l’on appelle la double majorité . Pour que ce 2nd vote soit possible, il faut que la résolution recueille l’approbation de la moitié des copropriétaires représentant au moins ⅓ des voix de tous les copropriétaires. La même assemblée pourra alors voter la résolution à la majorité des voix de tous les copropriétaires, c’est-à-dire à la majorité dite de l’article 25 (plus facile à obtenir).

        Dans certains cas, les travaux ayant obtenu l’accord des copropriétaires nécessitent également une autorisation d’urbanisme.

        Il s’agit par exemple des travaux suivants :

        • Changement de fenêtres (à l’exception de travaux de réparation ou de remplacement à l’identique)

        • Création d’ouverture donnant sur l’extérieur (œil-de-bœuf, fenêtre, Velux…)

        • Changement de couleur des volets ou fenêtres

        • Pose de volets ou de barreaux aux fenêtres

        Droits des autres copropriétaires

        L’usage exclusif des parties privatives s’effectue librement à la condition de ne pas porter atteinte aux droits des autres copropriétaires.

        Par exemple, les travaux ne doivent pas créer de dommages, de troubles de voisinage

        Pour prévenir cela, le règlement de copropriété peut interdire certaines actions. Vous devez donc vérifier le règlement de copropriété avant de réaliser vos travaux.

        La réalisation de travaux portant atteinte aux droits des autres copropriétaires nécessite un vote en assemblée générale des copropriétaires adopté à l’unanimité.

        Les travaux réalisés en l’absence d’un vote lorsque ce vote est nécessaire sont donc illégaux.

        Les copropriétaires qui en ont connaissance peuvent en informer le syndic de copropriété.

        Le syndic va demander au copropriétaire de remettre en état le logement.

        En cas d’inaction du copropriétaire, le syndic doit tenter un règlement amiable avant de faire un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu de situation de l’immeuble. Pour cela, il doit faire appel à un conciliateur de justice (démarche gratuite) ou à un médiateur (démarche payante) ou à une procédure participative (démarche payante avec recours à un avocat).

        En cas d’échec, le syndic pourra exercer son recours devant le tribunal judiciaire.

        À noter

        Le recours devant le tribunal judiciaire peut être exercé pendant 10 ans. Après ce délai, il n’est plus possible de contester les travaux illégaux.

        Des travaux privatifs peuvent avoir un impact sur les parties communes.

        À l’intérieur de votre logement, les parties considérées comme des parties communes sont les suivantes :

        • Gros œuvre du bâtiment (structure porteuse de l’immeuble)

        • Sol

        • Parties de canalisations qui traversent les logements

        • Coffres, gaines et têtes de cheminées

        Ainsi, lorsque vous réalisez, par exemple, des travaux qui ont un impact sur le système de chauffage collectif de l’immeuble, vous portez atteinte aux parties communes.

        De ce fait, pour réaliser ce type de travaux, vous devez obtenir l’accord des autres copropriétaires en assemblée générale.

        La majorité requise va dépendre de la nature des travaux.

        En général, un vote à la majorité absolue dite de l’article 25 est exigé (c’est la cas, par exemple, pour l’abattement d’un mur ou la création d’une porte). Par contre, en cas d’appropriation ou destruction d’une partie commune, un vote à la double majorité dite de l’article 26 est exigé.

        La majorité absolue (dite majorité de l’article 25 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965) correspond à la majorité des voix de tous les copropriétaires de l’immeuble (présents, représentés et absents).

        Si la décision a reçu au moins ⅓ des voix, elle peut faire l’objet d’un 2nd vote à la majorité simple de l’article 24 (majorité des voix des copropriétaires présents, représentés ou ayant voté par correspondance).

        La double majorité (dite majorité de l’article 26 ) correspond à la majorité des copropriétaires de l’immeuble représentant au moins les 2/3 des voix des copropriétaires.

        Exemple

        Dans une copropriété de 10 copropriétaires (représentant au total 1000 millièmes), une décision est adoptée si 6 copropriétaires détenant 700 millièmes, soit plus des 2/3 de tous les tantièmes (2/3 de 1000 = 667), valident cette décision.

        Si cette majorité est difficile à obtenir, il est possible de faire un 2nd vote à une majorité plus simple. C’est ce que l’on appelle la double majorité . Pour que ce 2nd vote soit possible, il faut que la résolution recueille l’approbation de la moitié des copropriétaires représentant au moins ⅓ des voix de tous les copropriétaires. La même assemblée pourra alors voter la résolution à la majorité des voix de tous les copropriétaires, c’est-à-dire à la majorité dite de l’article 25 (plus facile à obtenir).

        Les travaux réalisés en l’absence d’un vote sont donc illégaux.

        Les copropriétaires qui en ont connaissance peuvent en informer le syndic de copropriété.

        Le syndic va demander au copropriétaire de remettre en état le logement.

        En cas d’inaction du copropriétaire, le syndic doit tenter un règlement amiable avant de faire un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu de situation de l’immeuble. Pour cela, il doit faire appel à un conciliateur de justice (démarche gratuite) ou à un médiateur (démarche payante) ou à une procédure participative (démarche payante avec recours à un avocat).

        En cas d’échec, le syndic pourra exercer son recours devant le tribunal judiciaire.

        À noter

        Le recours devant le tribunal judiciaire peut être exercé pendant 10 ans. Après ce délai, il n’est plus possible de contester les travaux illégaux.

      Vous êtes propriétaire ou locataire ?
      Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

      De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

      L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

      Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
      Les contrevenants s’exposent à une contravention.

      Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

      En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

      Contact