Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Diagnostic technique global (DTG) de la copropriété

Vous souhaitez avoir des informations sur la situation technique générale de votre immeuble  ? Le diagnostic technique global (DTG) informe les copropriétaires de l’état technique de l’immeuble et de ses équipements communs. Il comporte un diagnostic de performance énergétique de l’immeuble et recense les travaux à effectuer. Nous faisons le point sur la réglementation.

    Le diagnostic technique global (DTG) informe les copropriétaires sur l’état technique global de l’immeuble de l’état technique de l’immeuble et de ses équipements communs. Il recense les travaux à effectuer.

    Le contenu du DTG doit être présenté à la 1re assemblée générale des copropriétaires qui suit la réalisation de ce document ou sa révision.

    Les conclusions du DTG doivent être transmises au futur acquéreur d’un lot de copropriété.

    Le DTG est obligatoire dans certains cas.

    L’assemblée générale des copropriétaires peut décider à la majorité simple de faire réaliser un DTG, mais elle n’y est pas obligée.

    À noter

    si un DTG a été réalisé, le syndicat de copropriétaires est dispensé de mettre en place un plan pluriannuel de travaux (PPT) à la condition que ce DTG fait apparaître qu’il n’y a aucun besoin de travaux au cours des 10 années qui suivent son élaboration.

      Le DTG est obligatoire pour un immeuble de plus de 10 ans et qui fait l’objet d’une mise en copropriété. C’est le cas lorsqu’un immeuble est nouvellement divisé en plusieurs lots privatifs et communs.

        L’administration peut demander au syndic de présenter le DTG lorsque l’immeuble présente des désordres (par exemple, l’immeuble est insalubre ou en péril) pour vérifier l’état de bon usage et de sécurité des parties communes.

          La réalisation du DTG doit être confiée à un professionnel justifiant de compétences et de garanties.

          Il peut s’agir d’un bureau d’études, d’un architecte, d’un thermicien.

          Ce professionnel doit remplir les conditions suivantes :

          • Attester sur l’honneur de son impartialité et de son indépendance à l’égard du syndic et à l’égard des fournisseurs d’énergie et des entreprises intervenant sur l’immeuble

          • Justifier avoir souscrit une assurance de responsabilité civile professionnelle. L’assurance doit préciser les compétences couvertes.

          Le DTG doit comporter les informations suivantes :

          • Analyse de l’état apparent des parties communes et des équipements communs de l’immeuble

          • État technique de l’immeuble et des équipements communs au regard des obligations légales et réglementaires au titre de la construction

          • Analyse des améliorations possibles de la gestion technique et patrimoniale de l’immeuble

          • Diagnostic de performance énergétique de l’immeuble

          • Évaluation sommaire du coût et une liste des travaux nécessaire à la conservation de l’immeuble, à la préservation de la santé et de la sécurité des occupants et à la réalisation d’économies d’énergie. Cette évaluation doit notamment préciser les travaux qui doivent être menés dans les 10 prochaines années.

          Le maire ou le préfet ou le président d’établissement public de coopération intercommunale peut à tout moment demander au syndic de lui produire le DTG pour vérifier l’état de bon usage et de sécurité des parties communes présentant des désordres potentiels.

          À défaut de production du DTG dans un délai d’un mois après notification de la demande, le maire ou le préfet ou le président d’établissement public de coopération intercommunale peut faire réaliser d’office le DTG à la place et aux frais du syndicat des copropriétaires.

        Documents de copropriété

          Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
          Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

          De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

          L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
          La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

          Diagnostic technique global (DTG) de la copropriété

          Vous souhaitez avoir des informations sur la situation technique générale de votre immeuble  ? Le diagnostic technique global (DTG) informe les copropriétaires de l’état technique de l’immeuble et de ses équipements communs. Il comporte un diagnostic de performance énergétique de l’immeuble et recense les travaux à effectuer. Nous faisons le point sur la réglementation.

            Le diagnostic technique global (DTG) informe les copropriétaires sur l’état technique global de l’immeuble de l’état technique de l’immeuble et de ses équipements communs. Il recense les travaux à effectuer.

            Le contenu du DTG doit être présenté à la 1re assemblée générale des copropriétaires qui suit la réalisation de ce document ou sa révision.

            Les conclusions du DTG doivent être transmises au futur acquéreur d’un lot de copropriété.

            Le DTG est obligatoire dans certains cas.

            L’assemblée générale des copropriétaires peut décider à la majorité simple de faire réaliser un DTG, mais elle n’y est pas obligée.

            À noter

            si un DTG a été réalisé, le syndicat de copropriétaires est dispensé de mettre en place un plan pluriannuel de travaux (PPT) à la condition que ce DTG fait apparaître qu’il n’y a aucun besoin de travaux au cours des 10 années qui suivent son élaboration.

              Le DTG est obligatoire pour un immeuble de plus de 10 ans et qui fait l’objet d’une mise en copropriété. C’est le cas lorsqu’un immeuble est nouvellement divisé en plusieurs lots privatifs et communs.

                L’administration peut demander au syndic de présenter le DTG lorsque l’immeuble présente des désordres (par exemple, l’immeuble est insalubre ou en péril) pour vérifier l’état de bon usage et de sécurité des parties communes.

                  La réalisation du DTG doit être confiée à un professionnel justifiant de compétences et de garanties.

                  Il peut s’agir d’un bureau d’études, d’un architecte, d’un thermicien.

                  Ce professionnel doit remplir les conditions suivantes :

                  • Attester sur l’honneur de son impartialité et de son indépendance à l’égard du syndic et à l’égard des fournisseurs d’énergie et des entreprises intervenant sur l’immeuble

                  • Justifier avoir souscrit une assurance de responsabilité civile professionnelle. L’assurance doit préciser les compétences couvertes.

                  Le DTG doit comporter les informations suivantes :

                  • Analyse de l’état apparent des parties communes et des équipements communs de l’immeuble

                  • État technique de l’immeuble et des équipements communs au regard des obligations légales et réglementaires au titre de la construction

                  • Analyse des améliorations possibles de la gestion technique et patrimoniale de l’immeuble

                  • Diagnostic de performance énergétique de l’immeuble

                  • Évaluation sommaire du coût et une liste des travaux nécessaire à la conservation de l’immeuble, à la préservation de la santé et de la sécurité des occupants et à la réalisation d’économies d’énergie. Cette évaluation doit notamment préciser les travaux qui doivent être menés dans les 10 prochaines années.

                  Le maire ou le préfet ou le président d’établissement public de coopération intercommunale peut à tout moment demander au syndic de lui produire le DTG pour vérifier l’état de bon usage et de sécurité des parties communes présentant des désordres potentiels.

                  À défaut de production du DTG dans un délai d’un mois après notification de la demande, le maire ou le préfet ou le président d’établissement public de coopération intercommunale peut faire réaliser d’office le DTG à la place et aux frais du syndicat des copropriétaires.

                Documents de copropriété

                  Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                  Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                  De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                  L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                  Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                  Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                  Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                  En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

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