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Propreté urbaine
La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.
C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.
Un service dédié pour un cadre de vie agréable
Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :
- Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
- Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
- Saler et déneiger les chaussées en hiver,
- Ramasser les feuilles mortes et désherber,
- Entretenir le mobilier urbain.
Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.
Des gestes simples dans mon quotidien
Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.
Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).
Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.
Traitement de la toxicomanie
La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.
Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).
De plus, la justice peut ordonner des soins.
Nous vous présentons les informations à connaître.
Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues
Assurent un accueil collectif et individuel
Mettent à disposition de matériel de prévention des infections
Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues
Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)
Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.
Services médicaux spécialisés
Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)
Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.
Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).
L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.
Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.
L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
Structures hospitalières
Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).
Ces structures sont de plus ou moins grande importance.
Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.
Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)
Les Caarud :
Haltes soins addictions (HSA)
Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.
Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.
Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).
Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).
Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.
Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.
Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.
Ou d’une peine complémentaire
Ou d’un sursis avec mise à l’épreuve.
La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.
Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.
L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :
Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).
Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.
Addictions
- Drogues.gouv.fr
Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) - Drogues info service
Source : Santé publique France
-
Drogues info service
Par téléphone
0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)
Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7
Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.
Écoute, soutien, conseils et orientations.
Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.
Par internet
Accès à la rubrique Vos questions / Nos réponses pour poser des questions aux professionnels du service
Par chat
Ouvert :
De 14h à minuit du lundi au vendredi
Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.
- Code de la santé publique : articles L3411-1 à L3411-6
Mesures de lutte contre la toxicomanie - Code de la santé publique : article L3411-9
Caarud - Code de la santé publique : articles D3121-33 à D3121-33-6
Missions des Caarud - Code de la santé publique : articles L3412-1 à L3412-3
Signalement par les services sociaux - Code de la santé publique : articles L3413-1 à L3413-4
Signalement par l’autorité judiciaire - Code de la santé publique : articles R3413-1 à R3413-9
Médecins relais - Loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (article 43)
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque - Arrêté du 26 janvier 2022 portant approbation du cahier des charges national relatif aux « haltes “soins addictions” »
- Arrêté du 5 mai 2017 fixant la liste des médicaments pouvant être dispensés dans les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et des dommages pour usagers de drogues
Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.
De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.
L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.
Traitement de la toxicomanie
La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.
Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).
De plus, la justice peut ordonner des soins.
Nous vous présentons les informations à connaître.
Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues
Assurent un accueil collectif et individuel
Mettent à disposition de matériel de prévention des infections
Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues
Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)
Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.
Services médicaux spécialisés
Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)
Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.
Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).
L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.
Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.
L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
Structures hospitalières
Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).
Ces structures sont de plus ou moins grande importance.
Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.
Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)
Les Caarud :
Haltes soins addictions (HSA)
Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.
Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.
Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).
Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).
Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.
Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.
Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.
Ou d’une peine complémentaire
Ou d’un sursis avec mise à l’épreuve.
La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.
Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.
L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :
Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).
Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.
Addictions
- Drogues.gouv.fr
Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) - Drogues info service
Source : Santé publique France
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Drogues info service
Par téléphone
0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)
Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7
Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.
Écoute, soutien, conseils et orientations.
Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.
Par internet
Accès à la rubrique Vos questions / Nos réponses pour poser des questions aux professionnels du service
Par chat
Ouvert :
De 14h à minuit du lundi au vendredi
Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.
- Code de la santé publique : articles L3411-1 à L3411-6
Mesures de lutte contre la toxicomanie - Code de la santé publique : article L3411-9
Caarud - Code de la santé publique : articles D3121-33 à D3121-33-6
Missions des Caarud - Code de la santé publique : articles L3412-1 à L3412-3
Signalement par les services sociaux - Code de la santé publique : articles L3413-1 à L3413-4
Signalement par l’autorité judiciaire - Code de la santé publique : articles R3413-1 à R3413-9
Médecins relais - Loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (article 43)
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque - Arrêté du 26 janvier 2022 portant approbation du cahier des charges national relatif aux « haltes “soins addictions” »
- Arrêté du 5 mai 2017 fixant la liste des médicaments pouvant être dispensés dans les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et des dommages pour usagers de drogues
Vous êtes propriétaire ou locataire ?
Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.
De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.
L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.
Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
Les contrevenants s’exposent à une contravention.
Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.
En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.
Contact
-
Services municipaux
Service propreté urbaine
Adresse: Rue du château d'eau
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30-12h / 13h30-17h