Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Enfant en danger : comment le signaler ?

Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

    Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

    • Santé ou développement physique

    • Sécurité

    • Moralité

    • Éducation ou développement intellectuel

    • Développement affectif ou social.

    Exemple

    Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

    • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

    • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

    • Agression et/ou exploitation sexuelle

    • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

    • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

    Attention

    Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

    Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

    L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

    À savoir

    Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

    119

    Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

    Où s’adresser ?

    Enfance en danger – 119

    Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

    Par téléphone

    119 (appel gratuit et confidentiel)

    24h/24 et 7 jours/7

    Le 119 n’apparaît pas sur les relevés de téléphone.

    Sur le site www.allo119.gouv.fr

     Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

     Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

    Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

     Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

    Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

    Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

    Où s’adresser ?

     Services du département 

    Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

    Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

    La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

    Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

    Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

  1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

  2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

    Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

    Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

    Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

  3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

  4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

Placement d’un enfant

    • Enfance en danger – 119

      Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

      Par téléphone

      119 (appel gratuit et confidentiel)

      24h/24 et 7 jours/7

      Le 119 n’apparaît pas sur les relevés de téléphone.

      Sur le site www.allo119.gouv.fr

       Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

       Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

       Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

    Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
    Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

    De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

    L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
    La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

    Enfant en danger : comment le signaler ?

    Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

      Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

      • Santé ou développement physique

      • Sécurité

      • Moralité

      • Éducation ou développement intellectuel

      • Développement affectif ou social.

      Exemple

      Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

      • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

      • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

      • Agression et/ou exploitation sexuelle

      • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

      • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

      Attention

      Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

      Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

      L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

      À savoir

      Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

      119

      Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

      Où s’adresser ?

      Enfance en danger – 119

      Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

      Par téléphone

      119 (appel gratuit et confidentiel)

      24h/24 et 7 jours/7

      Le 119 n’apparaît pas sur les relevés de téléphone.

      Sur le site www.allo119.gouv.fr

       Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

       Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

       Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

      Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

      Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

      Où s’adresser ?

       Services du département 

      Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

      Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

      La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

      Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

      Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

    1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

    2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

      Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

      Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

      Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

    3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

    4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

    Placement d’un enfant

      • Enfance en danger – 119

        Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

        Par téléphone

        119 (appel gratuit et confidentiel)

        24h/24 et 7 jours/7

        Le 119 n’apparaît pas sur les relevés de téléphone.

        Sur le site www.allo119.gouv.fr

         Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

         Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

        Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

         Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

      Vous êtes propriétaire ou locataire ?
      Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

      De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

      L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

      Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
      Les contrevenants s’exposent à une contravention.

      Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

      En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

      Contact